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Assia la fille du dealer

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C'est l'histoire d'Assia fille de milliardaire, et baron d'un géant cartel de trafic de stupéfiants... jeune camerounaise très belle, sexy et surtout convoité par tous les sexes opposés à première vue mais immuable sur sa défensive.

À caractère difficile, invivable et arrogante, comme le sont tous ces gosses de riche, Assia avait cette particularité qui était ; la sincérité et le dévouement lorsque l'on réussissait à la cerner... Prise dans le piège de ce sentiment cupidonesque elle luttera pour l'amour de sa vie au péril de sa vie, contre vents et marées et ce même contre ses propre géniteurs et tout obstacles sur son chemin...

Entre amour, violence et écart de langage, retrouvez ; # Assia La_fille_du_dealer. 

#A_SUIVRE

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Assia la fille du dealer
#Åssiã_la_fille_du_dealer #Épisode_1✨✨✨ Auteur : ?#PERGO_SANTIAGO? Il était quatre heures du matin lorsque Brice et Simon rentraient s'amuser en boîte de nuit comme tous les jeunes de leurs âges. Chacun racontait le déroulement de sa soirée... Ils cheminaient juste tous les deux à cette heure de la nuit quand la plupart des habitants de la capitale étaient encore endormis. BRICE : gars, cette soirée fût la plus belle de tous les temps, je me suis amusé comme un fou. Minceuuh, il nous faut souvent programmer les sorties les samedis comme celui-ci hein. SIMON : père, c'est ça que tu parles doucement comme ça, c'était le feu... Le DJ là était trop puissant, il ne laissait même pas le temps à quelqu'un de s'asseoir, non, il connaît son travail. BRICE : tout mon argent est parti que sur lui, tu n'as pas vu, c'est un Dieu des atalakus, il chante ton nom en boîte, tu peux même lui offrir ton téléphone, tu rentres mon frère. SIMON : hahaha tu avais un peu aujourd'hui comment tu n'allais pas faroter, maintenant nous voici sur la voie en train de rentrer tout ivre à pied et sans cinq francs dans les poches. BRICE : gars même s'il y avait l'argent pour emprunter une moto, j'aurais préféré qu'on marche à pied comme ça l'air frais de quatre heures là frappe un peu sur nous. SIMON : c'est aussi risqué de marcher comme ça, le jour ne s'est pas encore levé et on peut nous agresser à tout moment ? BRICE : le gars ci hein, tu es même mon ami que comment eeh? Donc tu marches avec moi et tu as peur du genre de chose là ? Que celui qui n'aime pas sa vie essaie voir. SIMON : oui, c'est ça n'est-ce pas c'est toi bruce lee noon? Pardon, marchons rapidement j'ai moi peur avec les rues de Douala ci !!! En plus, tu vas aller au entraînement à six heures. BRICE : Eweeee bro, c'est toi qui me rappelles ça encore hein !! Rentrons vite et je me repose même deux heures. C'est ainsi qu'ils ont accéléré les pas sur cette route sombre et déserte. Sur cette route, on pouvait apercevoir une ruelle après chaque dix mètres. Brice et Simon sont des meilleurs amis et colocataires, ils vivent dans une chambre du côté de deido, a Douala. Âgés proportionnellement de vingt-quatre et de vingt-cinq ans, ils ont arrêté les études universitaires par manque de moyens financiers et bienvenu le chômage... comme personne ne connaît le jour de son jour, ils galèrent sans toutefois baisser les bras en marchant d'entreprise en entreprise à la recherche du travail... Pour subvenir à leurs petits besoins en attendant trouver un vrai travail, ils font des petits jobs. Simon lui, est un aide commerçant au marché deido et Brice est coach de karaté dans un établissement de la place et c'est seulement ainsi qu'ils arrivent à payer leur chambre et se nourrir ou au-delà aller s'amuser quelques rares soirs dans les boîtes de nuit comme ce soir où ils étaient de retour pour rentrer. Ils longeaient toujours cette voie-là rapidement et en silence, dans leur marche à la Française ils avaient aperçus sur l'une de ces ruelles une grosse voiture noire prise d'assaut par des assaillants lourdement armés d'armes blanches. SIMON : Brice avançons plus vite, je t'avais dit noon ? On dirait que voilà des bandits là-bas au milieu de la rue-là. BRICE : laquelle, quelle rue? ? SIMON : (en pointant du doigt) là-bas. BRICE : mince, on dirait plutôt une embuscade, regarde ces trois gars, ils ont les machettes. SIMON : tu as raison gars pardon marchons rapidement, ils peuvent nous voir. BRICE : non, s'il s'agit d'une agression, je ne peux pas les laisser comme ça, avance-toi et je te rejoins à la maison, je te rejoins, je vais leur donner un coup de main. SIMON : j'espère que tu blagues, ces gars sont armés et en plus baraqués qu'ils sont, tu racontes quoi là ? S'il te plaît, allons-y, Partons d'ici avant qu'ils nous repèrent. BRICE : je t'ai demandé de partir, je te retrouve à la maison. Connaissant Brice et sachant qu'il n'allait pas l'écouter, Simon avait donc décidé l'attendre à distance puis il s'était rapproché de cette voiture. Effectivement, il s'agissait bel et bien d'une embuscade ; trois hommes colosses armés de machettes et de couteaux à bord d'une moto venaient de stopper cette voiture noire sur la route. À bord de cette voiture, se trouvaient deux hommes bien vêtus, costume cravate... eux, également, étaient bien musclés à première vue on voyait qu'il s'agissait bien des gars de corps, car sur le siège arrière était installé une jeune demoiselle à la beauté d'une sirène dans une robe soirée vert foncé. Ils n'avaient pas eu le temps d'enlever leur part d'arme que la portière de leurs voitures s'était ouvert. - Descendez du véhicule, un moindre geste brusque et c'est par terre que vous allez ramasser vos têtes. À l'arrivée de Brice, l'un des assaillants avaient déjà pris en otage la jeune demoiselle et les deux autres étaient en train de ligoter les deux gars de corps. - si tu résistes encore, je te tranche la tête avec cette machette imbécile, s'écria l'un des brigands. Pendant ce temps, celui qui avait attrapé la jeune fille essayait de la ligoter également la bouche pour éviter qu'elle puisse crier et c'est en ce moment que Brice avait franchi leur périmètre. BRICE : eehh toi là, ton père ne t'a pas appris à respecter les femmes ? Maintenant lâche là. - c'est qui ce mec ? Pour qui se prend t-il ? BRICE : personne messieurs, juste un gentil homme qui vous demande gentiment de laisser cette gentille demoiselle bien vêtue, vous la froissez. - si tu ne veux pas mourir ce soir, dégage de là avant qu'on ne change d'avis. BRICE : pas avant que vous n'ayez libéré cette fille et ses amis. Celui qui tenait la jeune fille avait ordonné aux autres de tuer Brice. - tu l'aurais voulu, découpez le en morceau et nous allons ramener ses restes à manger au vautour. Le premier qui avait déjà terminé de ligoter l'un des gars de corps s'était rapproché de Brice... Il avait envoyé le premier coup de machette que Brice avait esquivé avec justesse. BRICE : c'est tout ce que tu sais fait ? Il avait envoyé le second coup en direction de sa tête et à l'aide de sa main gauche, il avait bloqué le coup en attrapant le poignet de ce dernier, celle qui tenait la machette, il avait tordu vers le bas et la machette était tombée puis il l'avait ramassé et l'avait jeté loin d'eux. BRICE : (en rigolant) maintenant, nous sommes à égalité montre moi ce que tu sais faire. Ce dernier était revenu à point fermé vers Brice en essayant de lui donner ces points sur le visage mais c'était en vain, Brice les avait tous esquivés avant de l'assommer un coup-de-poing bien appliquer à un endroit bien précis de sa nuque, il s'était écroulé et avait juste perdu connaissance. BRICE : à qui le tour ? L'homme qui tenait la fille lui avait rapidement attaché les mains en arrière et jeté dans la voiture puis s'était dirigé vers Brice et celui qui tenait l'autre garde avait terminé de le ligoter aussi il avait suivi directement son collègue et tous les deux ils se sont associés pour tuer Brice. BRICE : vous deux a la fois, ok attendez un instant, je vais aller chercher une arme moi au.... Ils n'avaient même pas donné le temps à Brice de terminer sa phrase. - tu te prends pour un super-héros c'est ça ? Tu vas nous sentir passer sur toi. Ils se sont associés avec leurs machettes en essayant de couper Brice, mais il réussissait à esquiver toutes leurs attaques et lorsqu'il eut une occasion, il avait administré un bon coup de pied bien précis sur la cheville de l'un d'eux qui s'était retrouvé par terre hurlant de douleur puis a l'aide d'une prise, il l'avait évanoui. Pendant ce temps, Brice continuait de se battre avec le dernier jusqu'au point de lui briser une côte. BRICE : je pense que cette petite correction vous suffira. Ils étaient donc tous les trois KO a moins de dix minutes... Il s'était d'abord dirigé vers la fille et l'avait détaché le poignet et en suite il fît de même avec les deux autres gars. - merci beaucoup jeune homme. BRICE : de rien messieurs, tout va bien ? j'espère que vous n'avez rien de cassé ? - non, tout va bien, vous pratiquez les arts martiaux ? BRICE : oui plus précisément du karaté. - vous vous battez tellement bien. BRICE : ok Merci. Il s'était retourné vers la jeune fille de nouveau. BRICE : mademoiselle, ça va?? j'espère qu'ils ne vous ont pas fait de mal ? - (froidement) non !!! BRICE : d'accord, vous êtes vraiment jolie on dirait une princesse. - (hurlant ) je ne te permets pas de me faire des compliments, seule mon fiancé a le droit de le faire. BRICE : oooh je vois d'accord. - (s'adressant à ses gars de corps) partons d'ici b***e d'incapables, vous aurez les nouvelles de papa à mon arrivée à la maison, vous allez être tous renvoyés. La demoiselle avait pris place à l'arrière du véhicule comme au départ et les deux gars étaient montés à la cabine après avoir remerciés Brice une fois de plus puis ils sont partis. Brice avait rejoint Simon et ils ont continué leur bonhomme de chemin. A_SUIVRE

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